Dernière modification
20.04.2002
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A l'hiver 1997, le débat sur la flexibilité du travail a surgi en Corée du sud. Le marasme frappant la péninsule depuis le milieu de la décennie, le gouvernement de l'époque a tenté de faire passer une loi facilitant notamment les licenciements économiques.
On peut distinguer deux flexibilité : quantitative et qualitative. La première fait intervenir la durée de travail tandis que la seconde s'appuie sur l'organisation et les fonctions au sein de l'entreprise.
La sortie de l'économie coréenne du sous-développement s'est caractérisée par une forte flexibilité quantitative des forces productives. Mais dès 1987 et le processus de démocratisation de la société coréenne, le rapport au travail a considérablement évolué. Concurrement à l'augmentation des salaires et de l'emploi, les entreprises ont cherché leurs gains de productivité à travers une autre organisation entrepreunarial qui impliquait une forte flexibilité fonctionnelle du travail pas toujours acceptée par les employés.
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